La destruction, la dégradation et la fragmentation des habitats naturels constituent l’une des deux plus grandes menaces pour la faune sauvage migratrice. Une nouvelle initiative majeure a été lancée aujourd’hui lors de la réunion des Nations Unies sur les espèces sauvages qui se tient à Samarcande, en Ouzbékistan, afin de garantir que les zones importantes pour les espèces migratrices sont identifiées, protégées et connectées entre elles. Le Partenariat mondial pour la connectivité écologique (GPEC – Global Partnership on Ecological Connectivity) a été annoncé en marge de la 14e session de la Conférence des Parties (COP14) à la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS).